Une grande maison de Joaillerie, ce sont aussi des histoires d'hommes et de femmes, ce sont ces femmes et ces hommes aussi qui font l histoire de la maison, ils participent à la création d'une histoire partagée et la perpétuent.
Après la guerre, il n'y avait plus de Van Cleef, mais il y avait encore chez Van Cleef des gens d'avant...de pendant..la guerre, puis une nouvelle génération arriva et dans les années 1950!!!!.
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La vie chez VCA c'est aussi la fête, les fêtes comme la Sainte Catherine, ce jour là on fêtait Mademoiselle Branca , elle est entourée par les filles de Pierre Arpels, dont Caroline Arpels
C'était un bon vendeur ce Monsieur Georges Lecaut à coté de Melle Branca
Un modèle des années 50
Pierre Arpels devant une vitrine installée pour une exposition à l'unesco (excusez le cliché réparé au mieux)
Modèle des années 50
L'Unesco
La plus symphatique des photos!, à gauche Amélia Roblet qui était vendeuse, au centre, ces superbes moustaches sont à Gérard Azoulay, vendeur et directeur général, à droite Hélène Stévenin secrétaire et responsable de la caisse.
Ces gens là, comme toutes les autres personnes ayant travaillé chez Van Cleef & Arpels sont une partie de la maison, mais les parties assemblées sont la Maison
Ce qui choque l'historien amateur que je suis c'est ce genre de publicité spoliante ci-dessous:
Connaissance des arts 1992 |
Sans Alfred, il n'y eut rien, regardons la situation en 1939:
La mort de Renée Rachel Puissant/Van Cleef a changé la donne, cela valait la peine de se pencher sur l histoire de ces Van Cleef partis de Cleves en Allemagne aux environs de l an 1700 , mais ce sera peut -être l objet du prochain chapitre.
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